Tu ne t’es jamais demandé… si tu savais mentir sans que ça se voie ?

Parce que l’on est toutes et tous amenés au moins une fois – par jour, par mois, dans sa vie – à mentir droit dans les yeux de quelqu’un, autant savoir à l’avance si notre petite mascarade a des chances de passer inaperçue.

Mentir, c’est mal

Évidemment, mentir, c’est mal. On ne doit pas. Mais quand même, quelquefois, ça peut s’avérer drôlement pratique. Ou carrément impératif. Bref, c’est mal mais la pâte à tartiner aussi, tout comme les frites et le diesel. Si tu penses que mentir est parfaitement inexcusable, passe ton chemin. Ici on cause entre adultes qui peuvent avoir de vraies bonnes raisons de mentir. Pour des raisons diplomatiques, par exemple. Pour des motifs professionnels, aussi. Après tout, n’est-il pas humain de tenter de se survendre devant un employeur, pour obtenir le poste si précieux qui ferait de nous un honnête travailleur (imposable) ? Si tu mens tous les jours ou presque, passe aussi ton chemin. Tu sais déjà mentir et n’as plus rien à apprendre en la matière.

mensonge 1

Mais si tu t’es déjà demandé si tu savais mentir, soit parce que tu comptes le faire soit parce que tu viens de le faire et que tu te demandes si tu t’es fait-e griller, va jusqu’au bout de l’article. C’est-à-dire jusqu’à cette phrase sans équivoque qui va peut-être plomber ta journée ou ce qu’il en reste : si ça se trouve, tu ne sais pas mentir.

Oui, c’est probable car mentir n’est pas donné à tout le monde et certains ne sauront jamais le faire. Je sais, l’angoisse monte en toi car, maintenant que tu y repenses, tu as déjà eu cette impression en mentant que ton interlocuteur ne croyait pas un seul instant à tes conneries. Il est possible en effet que tu sois un piètre menteur et que ce soit inutile de tenter d’y remédier. Mais ne t’angoisse pas inutilement, tu vas bientôt être fixé-e.

Un talent facile à détecter

Il existe une manière simple, rapide, fiable et gratuite de savoir si on est un bon ou un mauvais menteur. C’est un test mis au point par un magicien anglais devenu psychologue et dont on parle dans les magazines féminins, autant dire qu’il est béton :

Là, sans réfléchir, tu vas tendre ton index (je ne saurais pas te dire lequel, et j’avoue que ça rend la démonstration un peu bancale, mais ça n’est quand même pas si difficile de jouer le jeu, merde !) Bon, tu prends cet index et rapidement, tu traces un « Q » majuscule imaginaire sur ton front. Oui, un « Q », comme ça, sur ton front.

mensonge 2

Contente-toi du poker en ligne

Tu le vois, ce Q ? Il arrive où ? Entendons-nous bien, où arrive la queue de ce « Q » ? (J’arrête, c’est lourd). Si la barre du Q est orientée vers ton sourcil gauche : bravo ! Tu es un menteur ou une menteuse et, qui sait, ça pourra peut-être te servir. L’analyse du magicien anglais précise que tu te soucies du regard qu’on porte sur toi et que tu sais manier le mensonge avec aisance. Si par contre la barre de ton Q pointe vers ton sourcil droit, tu vois venir la sale nouvelle ? Tu es plus introverti-e et il t’est fortement déconseillé de tenter de bluffer au poker. C’est moche, mais c’est comme ça. Et puis relativise : d’aucuns racontent qu’on vit mieux et plus longtemps quand on ne ment pas. Et ça c’est rien que la vérité, je l’jure !

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